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 'til death tear us apart | Nirvàna [Terminée]

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Nirvàna C. Dawson



Nirvàna C. Dawson


MY LIFE IN WINCHESTER
:
'til death tear us apart | Nirvàna  [Terminée] Vide
MessageSujet: 'til death tear us apart | Nirvàna [Terminée]   'til death tear us apart | Nirvàna  [Terminée] EmptyVen 14 Jan - 1:48

'til death tear us apart | Nirvàna  [Terminée] 343227SIGNATURELEAMICHELE01
c. lollipops


NIRVÀNA CHARLIE DAWSON

23 ANSMARIEEBEING TRAPPED

Tell me everything about you


Ma vie, bien que courte (avouons-le, vingt-trois ans, c'est encore trop jeune pour mourir, non ?) fut une vie remplie de bonheur. Je pense qu'il ne serait pas prétentieux en effet d'affirmer que pendant ces vingt-trois années, j'ai été heureuse, et épanouie. Tout a commencé et tout a fini à New-York. C'est en effet là-bas, un soir de Décembre, que j'ai poussé mon premier cri... Et accessoirement là-bas que j'ai poussé mon dernier soupir. Mais ça, c'est une toute autre histoire. Mes parents avaient longtemps attendu ma naissance. Entre nous, j'étais une enfant plus que désirée. Une enfant fruit de l'amour de deux êtres faits l'un pour l'autre. Une enfant qu'ils avaient été prêts à obtenir, à n'importe quel prix. Il leur avait fallu six ans. Il avait fallu six ans à Miranda et Peter Caufield pour enfin voir l'enfant qu'ils avaient tant désiré venir au monde. Cet enfant, ils s'étaient promis de le choyer, d'être toujours à ses côtés, et de l'aimer. Et c'est ce qu'ils firent. Ils me traitèrent de la meilleure des façons qui soit. Ils me donnèrent une très bonne éducation, faisant de moi cette jeune fille douce, parfois délurée, mais néanmoins responsable que j'étais. J'ai eu une vie plutôt privilégiée. J'ai toujours eu le meilleur de ce que l'on avait à m'offrir. D'une part parce que j'étais fille unique, mais également parce que mes parents dirigeaient une agence de pub très réputée qui nous permettait d'avoir les plus belles choses qu'il nous était donné de posséder. C'est dans l'Upper East Side – dans un grand appartement - que j'ai passé toute mon enfance, mais c'est là aussi que j'ai fait l'une des rencontres qui changerait ma vie à jamais. Au jardin d'enfant. A l'époque, j'étais encore trop jeune pour m'en rendre compte. Trop jeune pour prendre conscience que ce petit garçon que j'avais rencontré – Caleb – marquerait à ce point ma vie. J'étais loin de m'imaginer la place qu'il prendrait dans celle-ci, comme dans mon coeur... Bien loin aussi de m'imaginer qu'il ne bouleverserait pas que ma vie, mais aussi ma mort...

Entre nous, tout a toujours été simple. On s'est toujours entendus. D'aussi loin que je me souvienne, du moins. On a toujours su se parler, et se comprendre. Et rapidement, une amitié s'est installée entre nous, même si nous n'étions hauts que comme trois pommes et que nous savions à peine ce qu'était la vie. Je crois que c'est en primaire que j'ai réalisé, pour la première fois, que sa place à mes côtés m'était nécessaire, pour m'épanouir. Tout cela est parti d'un « drame » - par drame, comprenez à l'échelle d'un enfant, bien entendu. C'était un jeudi, et un petit 'rebelle' s'était mis en tête de me voler mon goûter. Pourquoi ? Parce que je n'étais pas une fille bien méchante, et qu'il savait que je ne dirai rien. Que je n'oserai pas m'affirmer. A l'époque, j'étais encore trop intimidée pour ça. Encore trop seule, dans ce monde de brutes, pour oser m'affirmer sans craindre de représailles. Quand Paul – je me souvenais encore de son prénom – m'avait volé mon goûté, tout ce que j'avais été capable de faire, c'était de fondre en larmes. La seule personne qui m'a tendu la main – et accessoirement une partie de mon goûter – fut Caleb. En plus de me rendre le sourire, il m'avait apporté ce jour là bien plus de choses que je n'aurais espéré : une épaule sur laquelle je pourrais toujours compter. Et c'est ce qu'il fut, pendant toutes les années qui suivirent : une épaule sur laquelle je pourrais me reposer. Il était mon ami. Le meilleur de tous. Il était mon frère, mon protecteur, mon garde du corps, que sais-je encore. Il était tout ça à la fois. Il était toujours là pour moi, dans les bons comme dans les mauvais moments. Il me soutenait, m'encourageait, et j'en faisais de même. C'était tellement naturel pour nous. C'était comme une évidence. Bientôt, il devint indispensable à ma survie, indispensable même à ma vie : j'avais besoin de lui pour avancer. Besoin de lui pour me montrer épanouie. Et si, pendant des années, il n'y eut entre nous aucune ambiguïté, c'est cependant lorsque nous entrâmes au lycée que les choses commencèrent à changer. Moi, j'étais de ces filles sérieuses, le nez plongé dans leurs bouquins. Peut-être pas le genre cheerleader, si vous voyez ce que je veux dire. C'était même tout l'opposé. Et lui, il était, comme à son habitude, supérieur à tous les autres. Il était quaterback de l'équipe de foot et autant le dire, en sportif qui se respecte, adulé par toutes les cheerleaders et autres minettes possible. C'était une bonne chose pour lui. Ou ça aurait pu l'être. Je ne me suis jamais réellement posé la question. Tout ce que je sais, c'est que ce sont toutes ces filles qui m'ont fait prendre conscience de mes sentiments pour lui.

FLASHBACK

« Tu as vu comme il est se-xy ? »

Le nez plongé dans Wuthering Heights, de Emilie Brontë, je relevai la tête, écoutant malgré moi la conversation qu'entretenait Amy Finnigan – l'une des filles les plus populaires du lycée – avec sa meilleure amie Clara Benett. Les deux jeunes filles riaient bêtement, et s'extasiaient sur un garçon dont j'ignorai encore l'identité.

« Tu devrais lui demander de sortir avec toi ! » s'était alors exclamé Clara.
« Tu crois ? »
« Oui ! Vous feriez le couple parfait : le quaterback et la cheerleader »
« Tu as raison. Caleb et moi, on ferait le couple parfait. Et puis, même nos prénoms vont bien ensemble ! »

Je levai les yeux au ciel, tout en feignant d'être absorbée par ma lecture.

« Chez toi ou chez moi ? »

Je sursautai de surprise. Caleb était arrivé sans un bruit derrière moi, et m'avait fait peur. Il se mit à rire en voyant ma réaction, et, tout en se reprenant, répéta sa question :

« Bon alors... Chez toi ou chez moi ? »
« Pardon ? »
« Oui... L'exposé de sciences... On le fait chez toi ou chez moi ? »

Je secouai la tête, histoire de remettre mes idées en place.

« Hm... Dans ce cas, ça sera chez toi, ça changera un peu. »

Il haussa les épaules.

« Comme tu préfères. »
« On se retrouve à 20 heures ? »

Il hocha la tête, avant de répondre :

« 20 heures, ça me va. A ce soir alors. »

M'adressant un sourire, il m'embrassa sur le front avant de partir pour son entrainement. Je sentis mon coeur s'accélérer à ce simple contact auquel j'étais pourtant habituée. Je lui rendis son sourire sans me faire prier, et le regardai s'éloigner avec un drôle de sentiment. Un sentiment que je ressentais depuis plusieurs mois déjà, et que je ne parvenais pas à oublier, ni même à mettre de côté. De l'amour. Oui, j'étais amoureuse de lui. Et autant le dire, toutes ces filles qui lui tournaient autour, ça ne me plaisait pas vraiment. Pour ne pas dire pas du tout.

Le soir venu, j'étais chez Caleb. A vingt heures précise, si ce n'est un peu avant. Nous travaillions sur notre projet de sciences, lorsque le téléphone sonna, et qu'il répondu. Relâchant mon stylo, j'avais attendu que sa conversation téléphonique, à laquelle il ne répondait que par des « oui » « non » et des « je ne sais pas » ne se termine enfin. Lorsque ce fut le cas, je ne pu m'empêcher de lui demander, par curiosité, mais aussi parce qu'on se disait tout – ou presque - :

« C'était qui ? »
« Amy. »
« Finnigan ? »
« Oui. »

Je baissai la tête.

« Qu'est-ce qu'elle voulait ? »
« Que je sorte avec elle, vendredi soir. »

Je pu m'empêcher d'ouvrir légèrement la bouche, non pas en signe de surprise – après la conversation que j'avais surprise l'après-midi même, j'avais cru comprendre qu'elle voulait sortir avec lui – mais surtout parce que j'étais... sous le choc. Et légèrement effrayée, à vrai dire. Effrayée de quoi ? Qu'il ait accepté de sortir avec elle... Qu'ils finissent par se mettre en couple. Que ses sentiments, en plus de ne pas se montrer réciproques, soient adressés à une autre.

« Tu vas pas accepter ? T'as pas accepté, hein ? » Je poussai un soupir, et avant même qu'il ne m'ait répondu, je repris, « Je sais que j'ai pas à te dire ce que tu dois faire mais... Tu ne devrais pas accepter. Parce qu'elle te connait pas et que dans le fond, elle se fiche de toi. Et toutes les autres qui te tournent autour aussi d'ailleurs. Elles ne s'intéressent qu'à ton physique et à ton statut de sportif. Moi, en revanche, je te connais. Depuis toujours. Je te connais mieux que personne, moi, je m'intéresse à toi pour ce que tu es vraiment. Et j'ai pas envie de gâcher notre amitié en te disant ça mais je t'ai- »

Ses lèvres s'étaient plaquées sur les miennes et, sans que je réfléchisse, je lui rendis son baiser. Un long baiser, amoureux et passionné, qui, en plus de me faire taire, suffit à me faire comprendre que tout ce que j'avais ressenti ces dernières semaines était réciproque. Lorsque nos lèvres se séparèrent, j'avais le souffle court. Et tandis que je sentais la chaleur de son souffle contre mes lèvres, que j'entendais mon coeur cogner si fort que j'en avais l'impression qu'il allait sortir de ma poitrine, je terminai, dans un souffle :

« Je t'aime. »

C'est ainsi que tout a vraiment commencé entre nous. On avait dix-sept ans à l'époque. On était jeunes et insouciants, et pour ces raisons, notre amour aurait pu ne pas durer. C'est du moins ce que certains ont du penser. Ceux là, si vous voulez savoir mon avis, étaient les gens jaloux. Ceux qui enviaient notre relation, et surtout notre bonheur. Mais imaginer la chose aurait été nous sous-estimer. Car nous savions, tous les deux, que nous nous aimions. Nous savions qu'il ne s'agissait pas que d'une amourette de lycée, et pour cause, puisque même en étant à la fac, en psycho, les choses n'avaient pas changées entre nous. Nous nous aimions toujours autant. D'un amour inconditionnel. D'un amour qui nous amena à nous marier, deux ans plus tard, à Lawrence, au Kansas, ville natale de la mère de Caleb. Se marier là bas, c'était un peu comme lui rendre hommage. Pour ma part, c'était un moyen comme un autre de la remercier. De la remercier de quoi, me demanderez-vous ? D'abord de m'avoir acceptée dans sa famille, de m'avoir accueillie dans celle-ci, comme si j'étais sa sixième enfant ; mais aussi d'avoir mis au monde et élevé celui sans qui ma vie m'était inconcevable. Et ce jour, je peux vous l'assurer, fut sans aucun doute le plus beau de toute ma vie...

FLASHBACK

« Nirvàna tu es... magnifique. »

J'adressai un large sourire à l'homme qui se trouvait en face de moi.

« Merci papa. »
« Si avec ça, Caleb ne dit pas 'oui', je sais pas ce qu'il lui faut. »

Je levai les yeux au ciel, avant de le reprendre gentiment :

« Papa... »
« Oui, c'est bon, je sais déjà ce que tu vas me dire. Et je sais que tu as raison. Vous vous aimez, et c'est pour ça que vous vous mariez. Et si tu veux mon avis, vous êtes faits l'un pour l'autre ! Mais tu sais... mariée ou pas, tu resteras toujours ma petite princesse. »

Je lui adressai un sourire, et tandis que je sentis les larmes me monter aux yeux, j'inspirai, avant de reprendre :

« Papa, arrête. Tu ne voudrais tout de même pas que j'arrive en larmes devant l'autel ? »

Il se mit à rire, avant de répondre :

« Pourquoi pas ! Comme ça au moins, tu serais accordée à ta mère ! »
« Maman pleure ? »
« Elle n'arrête pas de pleurer depuis qu'elle t'a vue te préparer tout à l'heure. Elle n'arrête pas de répéter que c'est le plus beau jour de sa vie, aussi. Après tout, c'est pas tous les jours qu'elle mariera sa fille. »

Effectivement. Je savais ce que représentait mon mariage, pour mes parents. C'était un jour important. Le plus important de tous, même. Ou presque. Après celui de ma naissance, très probablement. Et je savais que, s'ils étaient heureux pour nous, ils se faisaient néanmoins du soucis. Parce que leur petite fille allait définitivement quitter le nid, et prendre son envol. Et ça, c'était difficile à encaisser. Adressant simplement un sourire à mon père en guise de réponse, je n'eus même pas le temps d'oser envisager poursuivre la conversation que, déjà, on venait me chercher.

« C'est l'heure. »

Le grand moment était enfin arrivé. Et je dois dire que je l'attendais avec une certaine appréhension, mêlée à de l'impatience. J'avais plus que hâte de retrouver Caleb, et d'être – enfin – sa femme. Accompagnée de mon père, et précédée des petites jeunes filles, j'allais avec eux jusque derrière l'Eglise, là où serait célébrée notre union. L'endroit était magnifique. Digne des comptes de fées. Comme ma robe, à vrai dire... Et comme mon couple. Et je disais cela sans prétention. Lorsque la marche nuptiale avait commencé à raisonner, mon père m'avait avancée jusqu'à mon futur mari. Il était le plus beau de tous, dans son costume avec son noeud papillon. Et, tandis que je m'avançais jusqu'à lui, je le dévorais des yeux, avec ce sourire aux lèvres qui me caractérisait tant. Il était parfait. Magnifique. Et ma vie à ses côtés, je le savais, serait à cette image : parfaite. Lorsque j'arrivai enfin face à lui, mon père me quitta, non sans déposer un dernier baiser sur mon front, pour aller rejoindre ma mère, qui, au premier rang, avait les larmes aux yeux. Un dernier sourire dans leur direction, et je reportais toute mon attention sur mon futur mari. Un futur mari dont les yeux pétillaient. J'esquissai un sourire, tandis que nos mains se joignirent. Il avait un large sourire aux lèvres, un de ces sourires qui laissaient deviner – sans peine – combien il était heureux. Et ce dernier, plus que tout, me réchauffa le coeur. Alors que le prêtre commençait son discours habituel, le regard de Caleb ne quittait pas le mien. Il en fut si insistant qu'au bout d'un instant, je baissai les yeux, gênée par celui-ci. Et cela se remarquait certainement au rouge que j'avais aux joues. Alors que le prêtre avait terminé et qu'il était temps pour nous d'échanger nos voeux, un léger silence s'installa, le temps que Caleb se rende compte que c'était à lui de parler, lorsqu'il le réalisa, toute l'assemblée et moi même nous mirent à rire. Il s'excusa, avant de commencer :

[Cette partie est la propriété de Blini / L. Caleb Dawson]

« Nir’… Tu sais que je n’ai jamais été très doué pour ce genre de chose, les discours ça ne me met pas à l’aise, mais pour toi je vais faire un effort ! Je suis plus doué pour chanter mais bon je ne pense pas que ça soit le bon moment. Mais je sais qu’il y a une chanson que tu aimes beaucoup et qui reflète parfaitement ce que je ressens pour toi… Je me suis un peu inspiré de cette fameuse chanson pour mon discours donc… Je tiens à ce que tu saches que tu es ce qui m’est arrivé de mieux dans ma vie, tu as toujours été là pour moi me redonnant le sourire lorsque j’étais malheureux, tu as fais de moi un homme meilleur. Et peu importe ce que tu pourras me confesser, je serais toujours à tes côtés, peu importe tes choix, je serais près de toi ! Je ne te l’ai sans doute jamais dis mais, Nirvàna je t’aime depuis le moment où je t’ai vu… » Il se retourna en direction de son frère, récupéra mon alliance, et se retourna dans ma direction pour me la passer au doigt. J'avais la main légèrement tremblante et, tandis qu'il s'exécutait, je me mordis la lèvre inférieure. « Cet anneau et ces mots ne sont qu'une façon de montrer au monde ce qui est dans mon cœur, depuis que je te connais. Je t'aime Nirvàna, Charlie Caufield, je t'ai toujours aimé et je t'aimerai toujours... »

Ces derniers mots suffirent à me faire craquer. Bien que mon sourire s'élargit, les larmes m'étaient montées aux yeux. Je regardai un instant ma main gauche avec une émotion non dissimulée. Ca n'était pas le moment de céder aux larmes, ou de me laisser trop envahir par mes émotions. Il fallait que je me ressaisisse, parce qu'il était à mon tour de prononcer mes voeux. Avec un sourire, je le relevais les yeux dans sa direction.

[Cette partie est la propriété de Blini / L. Caleb Dawson]

« Well… hard ! Hum… Mon discours va sembler fade à côté du tien maintenant. » Je ne pu retenir un léger rire, et l'assemblée fit de même, entre quelques larmes, pour certains – dont ma mère, était-il nécessaire de le préciser ? -. Je me retournai alors en direction de Jules, ma meilleure amie et demoiselle d'honneur qui me donna l'anneau que je devais passer au doigt de Caleb. Lui adressant un clin d'oeil complice, je me retournai sans plus attendre en direction de mon bien aimé, avec un sourire aux lèvres. « Landon Dawson, nous avons traversé tant d'épreuves... Malgré le fait que j'ai été confuse, ou si j'ai pu être perdue, tu m'as toujours retrouvée et tu m'as sauvée... Tu mérites d'être aimé... Alors c'est ce que je vais faire, du mieux que je le peux du moins. Je vais t'aimer durant les années qui viennent... Je suis tellement amoureuse de toi, je le serai à jamais... »

Je baissai les yeux, regardant ce que je faisais. Et lorsque l'anneau fut finalement passé autour de son doigt, je relevai la tête vers lui. Et voilà. J'avais craqué. Je pleurais. De joie. Je n'avais jamais été aussi heureuse qu'aujourd'hui, qu'à cet instant. Jamais été aussi heureuse de sentir sa main contre la sienne, de croiser son regard, pétillant de joie et d'amour. J'en oubliais le reste du monde. Tous nos amis et nos proches qui, assis, nous regardaient, et même le prêtre qui terminait son discours. Je ne revins à la réalité que lorsque mon mari s'approcha de moi et que je sentis enfin ses lèvres se poser les miennes pour m'embrasser avec passion. A ce geste, toute l'assemblée se mit à applaudir – et à siffler pour certains – ce qui me rappela malgré moi la présence des autres. Lorsque nos lèvres se séparèrent, je le regardai avec un sourire. Il me prit dans ses bras et je tournai la tête en direction de mes parents – en larmes. Décidément, la sensibilité de ma mère avait finie par être contagieuse puisque mon père, lui aussi, s'était laissé aller à pleurer de joie.

Et voilà comment Caleb et moi on a commencé à former notre propre clan Dawson. Un clan qui n'était composé que de deux personnes, mais que nous finirions par agrandir, avec un peu de temps. Car nous voulions tous les deux des enfants. C'était la suite normale des choses. C'était une preuve d'amour. Le moyen de le sceller à nouveau, et de le montrer à tous nos proches. Mais avant d'envisager plus concrètement la chose, il nous fallait terminer nos études. Etudes que nous réussirent plutôt brillamment, l'un comme l'autre. C'est tout naturellement – à mes yeux – que Caleb se fit engager par le FBI en tant que profiler. Le plus jeune de sa génération. Autant le dire, j'étais fière de lui. Fière, même si son travail, avait, bien entendu, quelques aspects négatifs. Il va sans dire que lorsqu'on côtoie l'horreur au quotidien, il devient parfois difficile de trouver le sommeil... Et c'est ce qui arrivait parfois à mon mari, au début. Bien qu'inquiète, je tentai de le rassurer comme je le pouvais, comme toujours. Et moi, dans tout ça ? J'ai fini par être engagée en tant que psychologue dans un cabinet existant. Ainsi, pendant que mon mari chassait les tueurs moi, j'essayais de comprendre même les plus communs des mortels. Des gens anéantis par la perte de proches, des gens qui se retrouvaient dans la spirale infernale qu'était la dépression et qui comptaient sur moi pour les aider à s'en sortir, etc. Nous avions cette capacité toute simple à comprendre les gens. A les aider. A les sauver, même, pour Caleb. Nous étions complémentaires. Si bien que les années qui avaient suivi notre mariage s'étaient déroulées sans encombre. Entre nous, tout fut parfait, dès le début : nous nous étions installés dans une maison à Manhattan, cadeau de mon père, et même le quotidien ne vint pas à bout de notre amour pour l'autre. Pas un mot au dessus de l'autre, jamais. De par notre habilité à comprendre les gens, nous nous comprenions mieux que quiconque, et il était inutile pour nous d'élever la voix. Au final, quatre années s'écoulèrent. Quatre années pendant lesquelles nous furent heureux, et bien plus encore. Quatre années à s'aimer, à s'épanouir l'un à côté de l'autre jusqu'à...

FLASHBACK

Assise dans la cuisine, un verre d'eau à la main, j'attendais -im-patiemment l'arrivée de Caleb. Il travaillerait tard, ce soir. Il m'avait prévenue. Et j'y étais habituée. Comme toujours, je ne lui en tiendrais pas rigueur. Je l'aimais trop pour ça. Mais aujourd'hui était un jour particulier. Alors, si j'aimais Caleb de tout mon coeur et de toute mon âme, je devais reconnaître que mon impatience grandissait de minute en minute. Je voulais le voir. On devait se parler. C'était important. Lorsque j'entendis la porte d'entrée s'ouvrir, les battements de mon coeur s'accélérèrent en signe d'appréhension. D'une certaine manière, je redoutais la conversation qu'on allait avoir... Parce que celle-ci, je le savais, changerait le cours de nos vies et de notre relation à tout jamais. Lorsqu'il entra dans la cuisine, je lui adressai un léger sourire. Il vint naturellement à ma rencontre, et m'embrassa avec douceur. Il était vingt-trois heures passées, et j'avais attendu qu'il ne rentre pendant plus de trois heures. J'avais lutté contre le sommeil, contre l'envie d'attendre le lendemain matin pour lui parler.

« Tu as mangé ? »

Je secouai la tête. Non, je n'avais pas mangé. Non pas que je l'avais attendu – il m'avait prévenue qu'il ne mangerait pas à la maison ce soir – mais je n'avais pas faim.

Tournant dans la cuisine à faire je-ne-sais-quoi. Je me retournai vers lui, avant de lui dire sur un ton qui se voulait extrêmement solennel :

« Caleb, il faut que je te parle. »

Il posa son regard sur moi, et je vis une légère inquiétude traverser son regard. Je lui souris, avant de reprendre :

« On attend un bébé. Je suis enceinte.», lançai-je alors avec un plus large sourire. Sa réaction fut instantanée. Il me prit dans ses bras, et me serra fort contre lui.

« On va avoir un bébé ! » s'exclama-t-il alors, m'amenant à rire de son enthousiasme. J'hochai la tête, tandis qu'il me reposait au sol. Plongeant une nouvelle fois son regard dans le mien, il posa sa main sur mon ventre et murmura avant de m'embrasser :

« Je vous aime. »

Quatre ans. C'est le temps qu'il nous avait fallu pour enfin fonder notre propre famille Dawson. Le temps qu'il nous avait fallu pour avoir une situation stable, et pour que l'on se sente enfin prêts à devenir parents, sans que l'idée ne nous effraie le moins du monde. Et bien au contraire, celle-ci nous ravissait. Jamais nous n'avions été aussi heureux qu'à cette époque. La vie nous souriait. On avait tout pour nous : un travail dans lequel nous étions épanouis, un conjoint sur qui l'on pouvait se reposer quoi qu'il 'arrive, et surtout une famille sur le point de s'agrandir. Nous étions bénis des dieux. Ce bonheur, nous étions loin de nous imaginer qu'il n'allait pas durer. Nous étions loin de nous imaginer que nos vies voleraient en éclat, et que la mort viendrait se mettre en travers de notre bonheur, et pourtant...

FLASHBACK

« Alors, c'était comment Seattle, ma belle ? » me demanda Amelya tandis qu'elle prenait la direction de la maison.

Je poussai un léger soupir.

« C'était... pluvieux. Et triste. Je suis contente d'être rentrée »

Oui, la pluie avait été au rendez-vous, à Seattle. Si je m'étais rendue là bas, ça n'avait été que parce qu'on m'y avait envoyée, pour assister à une série de conférences, et représenter mes collègues. C'était moi qui m'était proposée pour partir. Moi qui avais voulu rencontrer d'autres psychologues, mais aussi et surtout participer à ces conférences sur lesquelles j'avais travaillé pendant plusieurs semaines – celles-ci, ironie du sort, traitaient du deuil. Bref, mon séjour là bas aurait dû durer un petit moment, mais s'était finalement vu écourté lorsque l'intervenant principal était tombé malade, annulant ainsi les deux derniers jours que j'aurais dû passer à Seattle. Finalement, j'étais donc rentrée plus tôt et, comme Caleb était parti à Desmoines, dans l'Illinois, régler une histoire de tueur en série – rien que ça – c'était ma belle-mère qui était venue me chercher, et qui me conduisait à présent jusque chez moi.

« Caleb rentre bientôt. Vous aurez peut-être un peu de temps pour vous retrouver, et préparer la venue du bébé. Parce que tu sais, mine de rien, le temps passe très vite, il faut déjà commencer à- »

Amelya n'eut pas le temps de terminer sa phrase. Et je n'eus même pas le temps de l'écouter d'avantage non plus. Avant même que j'aie eu le temps de réaliser ce qui se passait, je me retrouvais dans des débris de verre et de métal. Les yeux clos, je ne réalisai toujours pas très bien ce qui venait de se produire. J'étais encore trop assommée pour comprendre. Et puis, l'état de conscience dans lequel je fus ne dura que l'espace de quelques secondes, que dis-je, d'une demi-seconde. Car avant même que j'ai pleinement compris ce qui était en train de se produire, avant même que la douleur n'ait le temps de manifester, mes yeux se fermèrent, et je poussai mon dernier soupir.

Ma mort, en un sens, avait été douce. Pas douce dans le sens où elle avait été sans douleur. Douce, dans le sens où elle n'avait pas été longue. Peut-être parce qu'elle avait été brutale, parce que je n'avais pas eu le temps de bien réaliser ce qui était en train de se passer. Je suis morte sur le coup. Avant même d'avoir eu le temps de souffrir, avant même d'avoir eu le temps de m'inquiéter pour Caleb, ou notre enfant. C'est après, que les choses se sont compliquées.

On aurait pu croire que ma mort aurait mis un terme à notre histoire, à cette histoire, que je vous raconte. Celle-ci n'a fait que la prolonger. Car si, pour certains, la vie continuait, en ce qui me concernait, elle continuait aussi. Pas vraiment. La mort, j'aurais du l'accepter. Aller de l'avant, sans me retourner sur cette vie passée, sans me retourner sur ce que je laissais derrière moi. Ce n'est pas ce que j'ai fait. Au lieu de ça, je suis restée, assistant par cette occasion, impuissante, à la souffrance de mes proches. Il va sans dire que mes parents ont été dévastés par ma mort. Ma mère surtout. Mon père l'a cependant soutenue dans cette épreuve, et je les ai bien souvent vus et entendus se rassurer en se disant que je n'avais pas souffert et que, de là où j'étais, je devais être plus heureuse. Ils ont essayé de soutenir mon mari dans cette épreuve. De le retenir à New-York. Malheureusement, ce n'est pas ce que Caleb a fait. Et on peut le comprendre. Sa mère, sa femme et son enfant étaient morts dans cette ville. Elle représentait bien trop de mauvais souvenirs pour lui. C'est pour cette raison qu'il a quitté notre maison. Pour cette raison aussi qu'il s'est débarrassé de mes affaires – certaines récupérées par mes parents, puis finalement entassées dans leur grenier. Et malgré son déménagement à Winchester, dans la demeure familiale des Dawson, je l'ai suivi. Je ne suis pas prête à partir. Je ne suis pas prête à quitter ce monde, et celui que j'aime. Je ne suis pas prête à faire une croix sur lui, et sur notre amour. Et dans le fond, lui non plus, n'était pas prêt à me laisser partir. Dans le fond, il avait beau ignorer mon existence à ses côtés en tant qu'esprit, je savais qu'il me gardait dans son coeur. Il n'avait pas vraiment fait son deuil. Pas encore. Pour preuve, il avait gardé mon bracelet porte bonheur avec lui. Et si je ne suis pas partie, c'est peut-être aussi parce que, je lui avais promis. Je lui avais fait la promesse d'être là pour lui, dans les années à venir, je lui avais promis de l'aimer à jamais et cela signifiait, même à travers la mort. Et quand on aime quelqu'un, on ne le laisse pas affronter les dures épreuves de la vie – ou de la mort, en l'occurrence – seul. On l'épaule, encore et toujours, on l'aime, quoi que cela implique. Et c'est ce que je compte faire. Jusqu'à ce qu'il aille mieux. Jusqu'à ce que sa vie ait retrouvé son sens, et ce, même si pour cela je dois renoncer au repos éternel...

Tell me how you are


Nirvana est née à New-York, dans l'Upper East Side, et y a toujours vécu - Elle est fille unique et le résultat d'une fécondation in vitro, elle était donc une enfant très désirée par ses deux parents - Elle n'a jamais manqué de rien, mais ne s'est jamais montrée prétentieuse pour autant - Elle s'est toujours montrée très brillante, mais aussi très curieuse et très bavarde, au point d'en agacer parfois ses parents, lorsqu'elle était plus jeune - Enfant sérieuse, elle a toujours excellé dans ses études - Elle a fini par épouser son meilleur et plus fidèle ami, Caleb Dawsonà Lawrence, lorsqu'elle avait 19 ans. Leur union s'est faite dans le Kansas, ville natale de sa belle-mère - Ayant la main sur le coeur, elle a toujours tenu à aider les autres, et c'est pour cette raison qu'elle a fait des études de psychologie - Elle a commencé à croire en l'amour tel qu'on le voit dans les films ou qu'on le lit dans les romans le jour où Caleb et elle se sont embrassés pour la première fois - Elle a une petite cicatrice au dessus de son genou droit, dernier vestige de sa première chute à vélo, lorsqu'elle avait 7 ans - Elle est allergique aux arachides - Elle adore la cuisine chinoise - Elle déteste la cuisine indienne - Elle a toujours rêvé de voyager en France, à Paris plus précisément, ville des amoureux. Malheureusement, elle n'a pas eu le temps d'y mettre les pieds avant qu'elle ne perde la vie - Son chiffre porte bonheur était le 3 - Son mari garde encore avec lui son bracelet porte bonheur, qu'elle ne quittait jamais depuis l'âge de ses huit ans - Elle regrette d'avoir perdu la vie, et surtout de ne pas avoir eu le temps de dire au revoir à son mari avant que cela n'arrive.

Tell me what are you thinking


Les fantômes ? J'y avais jamais cru avant. Si, peut-être quand j'étais une enfant, et que les garçons nous racontaient, à nous, les filles, des histoires effrayantes dans lesquelles il était question de fantômes. A cette époque, j'y croyais, et j'avais même peur d'eux. Et puis, le temps est passé, et je ne me suis jamais reposé la question. A vrai dire, je crois que si on m'avait posé la question, à savoir si j'y croyais ou non, ma réponse aurait très certainement été non. J'avais un esprit trop scientifique pour croire en ce genre de choses. Et puis, moi, je faisais partie de ces personnes qu'on ne peut convaincre qu'avec des mots. Il aurait fallu me montrer un esprit pour que je crois en leur existence. Mais voilà, à présent, je suis un esprit, je n'ai d'autre choix que de croire enfin à ces histoires. Je suis maintenant l'une des leurs, un de ces fantômes bloqués sur Terre, une de ceux qui n'ont pas réussi à trouver le repos éternel. Pourquoi ? La réponse me semble évidente. Je suis encore trop attachée à mon mari pour envisager ne serait-ce qu'une seule seconde de le quitter. Je l'aime trop pour ça. Je dois rester à ses côtés. Pour veiller sur lui, pour m'assurer qu'il saura reprendre sa vie, là où il l'a laissée après ma mort. J'ai besoin de le voir – et de le savoir – heureux, pour enfin partir. Ca m'est primordial. J'ai encore des choses à accomplir sur cette Terre, ma mort était prématurée. Tant que je ne me serai pas assurée de l'avenir de Caleb sans moi, je suis bien décidée à ne pas le quitter. Et puis, entre nous, c'est pas comme si c'était une chose qui m'amusait, que de rester coincée ici. Bien sûr, je préfèrerai être morte, définitivement, être au Paradis, ou je ne sais où encore. Parce que, croyez moi, la vie d'un esprit, c'est pas facile tous les jours. Imaginez-vous, rester au milieu des humains, au quotidien, les voir vivre, les voir épanouis, sans jamais pouvoir se mêler vraiment à eux, sous peine de les effrayer, ou de trop se faire remarquer. Imaginez-vous, observer vos proches souffrir, sans être capable de quoi que ce soit pour les réconforter. C'est mon quotidien. Chaque jour, j'observe un peu plus mon mari sombrer dans cette mélancolie que je ne lui connais pas. Et malgré tout, je reste invisible à ses yeux, trop effrayée à l'idée de la réaction qu'il pourrait avoir s'il me voyait. Il croirait certainement qu'il perd la tête. Caleb est trop cartésien pour croire en ces histoires de fantôme. S'il me voyait, ça lui ferait un choc, j'en suis certaine. Malheureusement pour moi, je ne contrôle pas encore à la perfection tous mes pouvoirs – je ne suis fantôme que depuis une année après tout – et je ne maitrise pas encore bien la télékinésie. De toute façon, cela m'importe peu, puisque je ne l'utilise que très peu. Je me sers avant tout de mon pouvoir d'invisibilité, qui me permet non seulement d'observer mon mari sans trop le bouleverser, mais aussi de me cacher des exorcistes. Ce sont des chasseurs de fantômes, si vous préférez. Des gens qui nous renvoient là où nous devrions être. Des gens qui, parfois, nous croient méchants. Parce que, oui, il existe des esprits qui sont plus destructeurs qu'autre chose. Moi, en revanche, je ne suis pas de ceux là. Je ne suis pas là pour me venger de qui que ce soit, je suis simplement sur Terre pour veiller encore un peu sur mon mari. Parce que je l'aime trop pour le quitter tant qu'il sera comme ça. Parce que je ne trouverai le repos que lorsque je me serai assurée personnellement qu'il a retrouvé le goût à la vie...


BEHIND YOUR SCREEN


PRÉNOM/ PSEUDO ♦ Mélo. ÂGE ♦ 19. PRÉSENCE ♦ 5/7. OÙ AS TU CONNU LE FORUM ♦ Partenariat. TES AVIS DESSUS ♦ Il déchire ! J'adore le design, mais aussi et surtout le contexte. Bien trouvé, chapeau aux boss !. PERSONNALITÉ SUR TON AVATAR ♦ Léa Michele. CODE RÈGLEMENT ♦ children souldn't play with dead things DERNIER MOT ♦ Love you guys !.





Dernière édition par Nirvàna C. Dawson le Sam 15 Jan - 22:18, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: 'til death tear us apart | Nirvàna [Terminée]   'til death tear us apart | Nirvàna  [Terminée] EmptyVen 14 Jan - 1:56

Léa I love you
Bonne chance pour ta fiche et bienvenue !

EDIT : Je viens de tilter que j'en connais un qui va être content ! :calin:


Dernière édition par Shane E. Green le Ven 14 Jan - 11:42, édité 1 fois
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Aaron T. Kennedy



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MessageSujet: Re: 'til death tear us apart | Nirvàna [Terminée]   'til death tear us apart | Nirvàna  [Terminée] EmptyVen 14 Jan - 5:51

BIENVENUE !
Bonne chance pour ta fiche :love:
Si tu as des questions, hésite pas !
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Clay K. Montgomery

Admin

Clay K. Montgomery


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MessageSujet: Re: 'til death tear us apart | Nirvàna [Terminée]   'til death tear us apart | Nirvàna  [Terminée] EmptyVen 14 Jan - 8:24

Bienvenue ♥️
Bonne chance pour ta fiche :love:
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https://allhellbreaksloos.easyforumpro.com
L. Caleb Dawson



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MessageSujet: Re: 'til death tear us apart | Nirvàna [Terminée]   'til death tear us apart | Nirvàna  [Terminée] EmptyVen 14 Jan - 15:02

NIRV' :3: :applaudi: :CALIIIN:
Encore merci de l'avoir prise ♥️ et bonne chance pour la fiche et si jamais tu as des questions sur le personnage n'hésite pas à me demander hein (:
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Nirvàna C. Dawson



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MessageSujet: Re: 'til death tear us apart | Nirvàna [Terminée]   'til death tear us apart | Nirvàna  [Terminée] EmptyVen 14 Jan - 20:25

Merci à tous pour votre accueil ! :calinduck:

Ne t'en fais pas Caleb, je pense que ça devrait aller. Je me mets à ma fiche ce soir si je n'ai aucun contre-temps ! =)
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Pepper J. Davenport



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MessageSujet: Re: 'til death tear us apart | Nirvàna [Terminée]   'til death tear us apart | Nirvàna  [Terminée] EmptyVen 14 Jan - 20:38

:groscalin: Bienvenue
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Jules R. Sullivan



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MessageSujet: Re: 'til death tear us apart | Nirvàna [Terminée]   'til death tear us apart | Nirvàna  [Terminée] EmptyVen 14 Jan - 21:18

Bienvenuuuuuuuuuuuuuuue !
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Nirvàna C. Dawson



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MessageSujet: Re: 'til death tear us apart | Nirvàna [Terminée]   'til death tear us apart | Nirvàna  [Terminée] EmptySam 15 Jan - 22:19

Merci les filles ! :calin3:

Et voilà, j'ai terminé. En espérant que ça plaise aux admins et à Caleb... :love:
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Aaron T. Kennedy



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MessageSujet: Re: 'til death tear us apart | Nirvàna [Terminée]   'til death tear us apart | Nirvàna  [Terminée] EmptyDim 16 Jan - 0:05

On attend l'avis de Caleb :3:
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Aphrodite T. Burton



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MessageSujet: Re: 'til death tear us apart | Nirvàna [Terminée]   'til death tear us apart | Nirvàna  [Terminée] EmptyDim 16 Jan - 1:24

    Bienvenue Miss :leche:
    Très joli prénom :love:
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L. Caleb Dawson



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MessageSujet: Re: 'til death tear us apart | Nirvàna [Terminée]   'til death tear us apart | Nirvàna  [Terminée] EmptyDim 16 Jan - 2:01

On m'attend ? Mais c'est parfait, tout simplement parfait ♥ pour moi c'est tout bon ♥
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Aaron T. Kennedy



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MessageSujet: Re: 'til death tear us apart | Nirvàna [Terminée]   'til death tear us apart | Nirvàna  [Terminée] EmptyDim 16 Jan - 3:11

Je valide alors :love:
Tu peux aller recenser ton avatar
et générer ta fiche personnage x)
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Nirvàna C. Dawson



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MessageSujet: Re: 'til death tear us apart | Nirvàna [Terminée]   'til death tear us apart | Nirvàna  [Terminée] EmptyDim 16 Jan - 11:34

Merci Aphrodite ! :calin!: (Pour le prénom, tout le mérite revient à Caleb ! ^^)

Contente que ça te plaise Chéri ! :love3:

Et merci pour la validation Aaron, je m'occupe de tout ça ! :calinduck:
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MessageSujet: Re: 'til death tear us apart | Nirvàna [Terminée]   'til death tear us apart | Nirvàna  [Terminée] Empty

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