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 ATHENA&AYRTON ♞ desire is hunger is the fire i breathe

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Ayrton J. Ravensdale



Ayrton J. Ravensdale

ATHENA&AYRTON ♞ desire is hunger is the fire i breathe Vide
MessageSujet: ATHENA&AYRTON ♞ desire is hunger is the fire i breathe   ATHENA&AYRTON ♞ desire is hunger is the fire i breathe EmptyLun 10 Jan - 1:12

ATHENA&AYRTON ♞ desire is hunger is the fire i breathe A2us1i ATHENA&AYRTON ♞ desire is hunger is the fire i breathe 33148364
« there's a lot I don't understand about life, you meet thousands of people and meet one person and your life has change. »

© text - love and other drugs, icons - psychozee;lipstick

C’est absurde, pourquoi est-ce que je suis resté déjà ? Pourquoi est-ce que je me laisse happer par cette histoire qui n’en était pas une mais résultait d’une bataille permanente, d’une guerre dont les protagonistes ne trouvaient de répit que dans l’acte charnel ? Je devrais me barrer, mais je reste, immobile dans le fond de ce bar miteux, à observer en silence le ballet incessant des gens qui m’entourent, j’écoute leurs rires immondes et leurs histoires ennuyeuses, je me perds dans le sempiternel bruit de leurs pas sur le parquet usé et je la regarde, elle, dans toute sa beauté, aussi magnifique qu’agaçante et insupportable. Aussi séduisante qu’elle pouvait être garce. Athena n’est pas de ces filles que tu te fais une fois et que tu laisses au fond de son trou, parce que malgré l’envie permanente que j’ai de l’assommer, je dois bien avouer que je n’ai jamais autant pris mon pied qu’avec elle. Parfois je me demande si nous ne sommes pas tomber dans une sorte de relation sadomasochiste à la con. Non parce que l’on se trouve que dans nos antagonismes respectives, on se fait la haine comme d’autres se font l’amour. Et on ne peut pas s’en passer, on recommence, encore et encore, à en crever, à ne plus pouvoir respirer, comme si nous blesser mutuellement nous permettait de vivre, comme si cela nous offrait un exutoire, notre enfer commun. Aussi chiant que ce soit de me l’avouer, il m’arrive de la vouloir, comme ça, juste pour moi, dans un putain de silence qu’aucune de nos insultes ne briserait, juste un moment de calme, pour voir, pour goûter à l’impossible, ne serait-ce que quelques secondes, l’un contre l’autre… Je porte mon verre de whisky à mes lèvres, je ne devrais pas laisser mes pensées vagabonder au grès de leurs envies. Je m’inflige une gifle mentale en me rappelant tout bêtement que cette gonzesse est une véritable peste que j’enverrais volontiers au fond d’une tombe si je ne pouvais contrôler mes pulsions. Je reporte mon attention sur la pièce, et commande un autre shot à la serveuse, à laquelle je glisse quelques mots salaces en lorgnant sur ses courbes avantageuses. Elle me sourit et s’empresse de retourner vers le comptoir, me jetant au passage un regard qui en dit long. Au moins, si ma soirée foire je sais avec qui je pourrais la finir. J’attrape une clope et la porte à mes lèvres, relevant les yeux vers la jeune femme qui commence à faire son show sur la scène. Je m’adosse au fond de ma chaise, penchant légèrement la tête, tombant dans la contemplation de ce corps que j’ai déjà tant de fois touché, caressé, fait trembler… Et elle se déhanche, joue de ses charmes et de ses formes, je me mords la lèvre inférieure, aussi fou de désir pour le spectacle qui se déroule devant moi qu’elle peut m’insupporter. Et elle se joue de moi, parce que je sais qu’elle me provoque, c’est elle qui m’a demandé de rester, et un instant je regrette, ayant l’impression de m’être bien fait couillonner. Il m’effleure l’esprit que je pourrais prendre la poudre d’escampette avec la serveuse, au moins jusqu’au toilette, histoire de la faire enrager, mais je ne peux pas, parce que je suis hypnotisé, et en colère d’être si faible lorsqu’il s’agit de sa luxure, de la putain de tentation qui transpire de chacun de ses pores et de ses yeux incandescents qui appelle au sadisme et au plaisir. D’ailleurs je ne semble pas être le seul à le penser, puisqu’une sorte de mec surement marié avec trois gosses, le genre épuisé par son boulot et par sa femme, celui la même qui dit être à un rendez-vous d’affaires et se rince l’œil devant les danses langoureuses d’Athena. M’enfin, je détourne le regard de ce déchet public et me concentre de nouveau sur elle, sentant le désir grandir en moi et au niveau de mon entre-jambe tiens. Et merde. Je bois cul-sec le fond de mon verre et celui que la barmaid m’a posé sans que j’m’en rende compte. J’manque de m’étouffer, ça calme mes ardeurs.

Presque une dizaine de minutes qu’elle a quitté la scène, j’ai déjà recommander deux verres et je commence à me redemander ce que je fous là. Jusqu’à ce que je la vois sortir par une porte privée et faire son apparition dans la salle sous le regard pervers du désespéré de tout à l’heure, et du mien aussi, on va pas s’mentir. Sauf qu’à l’inverse de ce con je sais me faire discret, ne pas lui montrer que je la veux, là, maintenant, sans cérémonie, juste nos deux corps enflammés. Il s’approche d’elle et commence à la draguer, avec tout son charme de banquier mal baisé. Personne ne remarque ce qui se passe, ni même la main qu’il met sur ses reins. Je sers mon verre, à la limite de le briser. Je vois sa bouche remuer, sans doute des paroles incompréhensibles de connard en rut. Il est plus entreprenant, elle le gifle, mais il ne cesse son jeu débile. Je me lève, sans réfléchir, et traverse la pièce, balançant mon poing dans sa gueule, putain ce que ça fait du bien ! Il me regarde, indigné, et se relève, prêt à m’en foutre une. Oh c’est mal me connaître, je sors un couteau de ma poche et l’appuie contre la peau grasse de son cou. « Vas-y, amuse toi. » que je lance d’une voix menaçante et amusée à la fois. Et le voilà qu'il se barre la queue entre les jambes, si tant est qu’il en est une. Je me mets face à Athena, sourire en coin, puis la dévisage un instant. Ni elle ni moi ne parlons, et au bout d'une minute je finis par balancer. « Un merci t’écorcherai la bouche ? »



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Athena S. Cooper



Athena S. Cooper


MY LIFE IN WINCHESTER
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MessageSujet: Re: ATHENA&AYRTON ♞ desire is hunger is the fire i breathe   ATHENA&AYRTON ♞ desire is hunger is the fire i breathe EmptyMer 12 Jan - 21:04


ATHENA&AYRTON ♞ desire is hunger is the fire i breathe Grattkikipt

Parce que t'es un chieur, parce que t'es un abruti, parce que jte supporte pas mais que chacun de tes regards, tes caresses, ou encore tes lèvres contre les miennes me plongent dan une agonie lente et douloureuse..

Aujourd'hui il me dit qu'il s'en va, qu'il va "s'amuser" ailleurs. Jz pourrais lui dire carrément que je ne veux pas qu'il s'en aille, que jveux qu'il reste ici, avec moi et que jveux le suivre, mais je peux pas m'y résoudre, après tout, je ne lui montre pas vraiment ce côté là, celui qui malgré le fait que oui, ça me tuerait de le lui avouer, j'ai besoin de sa présence.. Là on va me dire qu'à part lui envoyer les pires insanité en pleine figure je ne suis pas d'une clarté limpide face à ce que jpeux ressentir, je sais pas toujours pourquoi j'agis ainsi, il est canon, certes, mais est ce une raison de se laisser aller ? Parce qu'il faut le dire, c'est un homme. Je sais je suis perspicace... Et si je continue ainsi je risque d'être bien plus qu'une distraction.. J'aurais envie de plus, bien plus.. C'est dur d'être une peste, on s'imagine pas pourtant.. Envoyer paitre les autres, se retrouver seule sans amis.. Bref, ne parlons pas de choses sans importance et concentrons nous sur l'instant présent.. C'est à dire sur tonton.. Oui c'est un surnom que j'aime lui donner juste pour l'enquiquiner.. Ce soir je danse, je bouge mes petites hanches, je m'éclate, et je le vois là plus loin.. Je sais qu'il surveille, quoi qu'il en dise, il le fait toujours.. Il fume, je déteste ça, j'aimerais qu'il arrête, mais comment ? Je peux pas lui dire qu'il abime sa santé, on est pas amis, on baise, jvais pas lui avouer clairement que oui qu'il meure jeune ça puisse me gêner.. J'aime le rythme, je m'oublie - non e me suis pas faite dessus hein - et je ferme les yeux, un pas, deux pas, je tourne autour de la barre, laisse s'échapper mes cheveux longs roux puis reviens, balaye la foule et recapture son regard pour le détourner en une fraction de seconde. Et puis mon show est fini, je descend vite et je reviens habillée, enfin presque.. C'est là qu'un abruti fini commence à vouloir plus, il avait déjà débuté pendant la danse, ça y'est, il s'y croit, il veut plus.. Je suis danseuses, au pire, je me déshabille, mais non, je ne comte pas coucher avec lui, enfin lui ou un autre, au final, je n'en désire qu'un, et rien qu'à cette idée j'enrage.. Il met ses sales pattes sur moi, j'ai horreur de ça, j'essaye de me dégager, je râle, mais jpeux pas non plus lui mettre une pèche, je me ferais virer, que ce soit prohibé de toucher les danseuses ou non.. Je finis par lui en mettre une, une gifle, pas une pèche.. Il s'en fout le bougre, il doit être sou, donc il ne sait même plus ce qu'il fait ce pauvre type. en plus, jle connais, c'est un habitué, il et marié.. J'ai une tête à me faire les mal baisés moi ? Et là se passe la même chose que d'habitude quand un type me touche.. Ayrton s'énerve et le colle au mur.. « Non merde jt'ai dit de te calmer ! » Sauf que je pourrais chanter la marseillaise, ça changerait rien du tout ! Il sort son couteau et là jme dis que je sais pas quoi faire de ce type.. Le type évidement se barre, il est pas très grand Ayrton, mais il impose et puis il sait se battre ça se sent.. Il se plante devant moi l'air de rien et sourit tel un idiot.. Il m'énerve.. Il veut que j dise merci.. Il plaisante là ? Je l'attrape par le col et prend mon manteau en passant puis le colle contre le mur dehors.. « Merci pour quoi Ayrton ? Merci pour avoir fait fait le con et manqué de me faire virer ? Ou merci de ne pas laisser un type m'approcher d'un pouce sans que tu veuille les éclater tous.. Pas UN mec ne peut me toucher,et je parle pas de celui là.. T'es CHIANT ! Tu crèche ou sinon ce soir ? Ma piaule ? » Ouais je sais, je passe d'un sujet à l'autre comme si je m'en foutait, peut être bien que c'est le cas, peut être que j'ai juste envie qu'il e saute ce soir, je sais pas, mais bien vite ma main se glisse sous sa veste et effleure son torse.. Damned, ce mec finira par me tuer..



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