c. CelticAddiction

ALEXIS ISIS BLACKWELL

Tell me everything about you

Ouvrir ses yeux noisettes, ses yeux de chaton, et contempler le monde autour de soit. Contempler le monde et se poser tout un tas de questions, parce qu'on veut à tout prix en comprendre le plus possible avant de tomber sur une colle devant laquelle on se trouverait dans l'incapacité de former quelque réponse que ce soit. On veut grandir vite et bien, on veut surtout grandir trop rapidement. Et il arrive que dans la vie, le destin nous donne un coup de pouce dans cette volonté d'obtenir ses ailes plus vite que les autres de notre âge, et c'est à ce moment là seulement qu'on réalise que, finalement, on a eu tord, que, finalement, on était bien entre les ailes de ses parents et qu'on n'aurait sûrement pas dit non pour y rester encore un peu plus longtemps lové. Mais ainsi va la vie, et les erreurs, on ne les réalise qu'une fois qu'il n'y a plus rien à faire pour les effacer. On peut les atténuer, certes, mais c'est bien là le grand maximum qu'on puisse faire, à part laisser faire le temps, en espérant que les peines du cœur s'essouffleront un jour où l'autre. Mais malgré tout, on comprend que la vie est injuste, et que donc, l'erreur ne repose pas entièrement sur nos frêles épaules. On avait certes demandé à mûrir plus vite, histoire de pouvoir entrer dans les confessions lorsque les adultes abordaient tous ces sujets qu'on nous prétextait réserver à ces mêmes adultes, tous ces sujets que l'on ne pourrait comprendre qu'une fois que l'on serait plus grands. On n'avait cependant sûrement pas demandé que cette maturité surgisse durement dans notre vie. C'était dur, méchant, et mesquin. C'était comme se prendre une grosse claque dans la figure alors que l'on n'avait rien fait pour mériter ça. L'une des seules choses en mesure de nous réconforter dans ces cas là, c'est avoir quelqu'un auprès de soit, quelqu'un qui s'est lui aussi pris cette grosse claque et qui sait donc de quoi il parle lorsqu'il vous assure comprendre et vous dit que tout ira bien. Le must du must, c'est de comprendre tout cela rien que par un regard. Cela prouve qu'en face de vous, vous avez à faire à quelqu'un pour qui vous compter énormément, et qui compte tout au moins autant pour vous.

Aujourd'hui, on venait d'enterrer Rose Montgomery, emportée par une maladie fulgurante, en seulement quelques semaines. Elle était encore jeune, elle était surtout toujours aussi belle, malgré la maladie. Mais l'essentiel, c'est que personne n'estimait qu'elle avait mérité ça, que c'était une sanction venant punir une vie de coups bas et de croches pieds. Tous s'accordaient donc sur le fait que, décidément, ce sont toujours les meilleurs qui partaient en premier. C'était dur, dur à accepter, dur à encaisser. Une maladie fulgurante, c'est sans doute la pire des choses qui puisse arriver. La douleur se concentre sur ce laps de temps restreint séparant la découverte de la maladie et la mort, et donc, elle n'est pas aussi diffuse que chez ces malades atteints d'infections de longue durée. Le malade souffre mille morts en à peine quelques jours. Ce n'est pas une mort brusque, imprévue, qui n'a pas laissé le temps de souffrir à celui qui est déjà fauché par la mort avant même de s'en rendre compte. Ce n'est pas non plus une mort à laquelle on a réellement le temps de se préparer, une mort que l'on peut éviter en suivant un traitement, certes long et éprouvant mais efficace. Face à une maladie fulgurante, il n'y a rien à faire, si ce n'est soutenir celui qui se dirige chaque jour un peu plus vers le tombeau, et attendre que tout cela cesse. Et croyez en Alexis, c'est loin d'être évident à gérer et à accepter, lorsque l'on a seulement 10 ans. Bien sûr, elle n'était pas seule à souffrir de cette rapide et douloureuse descente aux Enfers. Il y avait son père, qui perdait la femme de sa vie, celle qu'il aimait encore plus qu'au premier jour, celle qui allait si bien à son bras et avec laquelle il n'avait jamais cessé les gestes d'affection et les marques d'amour. Il y avait aussi Clay, le frère aîné d'Alexis. Oui, il serait plus juste de dire demi-frère, mais Alexis se contrebalançait bien de savoir si oui ou non, ils étaient tous les deux nés du même père. Clay était dans sa vie depuis toujours, et n'avait que 3 ans de plus qu'elle. Alors, oui, son père était décédé alors qu'il était encore tout petit, et Rose avait retrouvé l'amour dans les bras de Jack, le père d'Alexis, mais Clay ne s'était pas retrouvé délaissé du jour au lendemain, pas même lorsqu'Alexis avait pointé le bout de son nez, bien au contraire. Alexis avait même toujours été très fière de sans cesse présenter Clay comme son frère, à tous ceux qu'elle rencontrait et croisait. De toute façon, lorsque Rose et Jack s'étaient mariés, alors qu'Alexis avait 2 ans, Jack avait adopté Clay, tout en le laissant continuer à porter le nom de famille de Rose. Ils n'avaient pas le même nom de famille, mais qu'est ce que ça pouvait bien faire ? Elle savait de toute façon qu'un jour, elle se marierait, et qu'elle changerait de nom, alors, maintenant ou plus tard ... Elle n'avait pas pleuré lorsqu'on avait descendu le cercueil de leur mère au fond du trou creusé par le fossoyeur, non pas parce que son père le lui avait interdit, lui qui avait les yeux brillants de larmes, non pas non plus parce qu'elle refusait que les gens pensent d'elle qu'elle n'était encore qu'un bébé incapable de se passer de sa mère ne serait ce que 30 secondes, mais parce qu'elle savait qu'il y avait bien une chose capable de peiner sa mère, et c'était les pleurs et la tristesse. Alors, elle était restée droite et fière, en prenant la main de son père dans la sienne, et en serrant bien fort celle de Clay, debout à côté d'elle. Elle allait devoir prendre soin d'eux, c'était ce qu'elle se disait, sans être bien sûre de pouvoir y arriver, mais elle voulait essayer, au moins un peu.

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Ne pas faire de bruit, et surtout, surtout, ne pas marcher sur la queue du chat qu'elle avait pris la décision de ramener avec elle de sa petite escapade nocturne. Oh, et il fallait aussi ne surtout pas se prendre les pieds dans l'un des verres vides ou seulement à moitié plein que son père avait pu laissé par terre. Jack ne s'était pas réellement remis de la mort de Rose, et c'était assez problématique, parce que la seule solution qu'il avait trouvé avait été de se réfugier dans l'alcool. L'alcool ne le rendait pas joyeux, pas triste à en crever non plus, non, il était juste beaucoup plus irritable. Et parce qu'il était flic, il voyait chaque jour de sales affaires défilées devant ses yeux, et celles qui le mettaient le plus hors de lui, c'étaient celles qui impliquaient des meurtres. Il ne concevait pas comment on pouvait tuer des gens innocents, lui qui avait perdu sa femme, tout autant innocente. Et cela le mettait tout autant hors de lui une fois rentré chez lui. Il avait ses périodes violentes, très violentes, mais jamais il n'avait posé la main sur Clay ou sur Alexis. Sa violence se déversait sur les objets, dans les mots aussi, et à coup sûr, la violence morale était bien pire que la violence physique. Alexis ne se laissait pas marcher sur les pieds, elle ne l'avait jamais fait et ne voyait pas pourquoi cela devrait changer, mais il n'en demeurait pas moins qu'elle souffrait de tout ça. Heureusement que Clay était toujours là pour elle jusque là, parce qu'elle s'était incroyablement rapprochée de lui ces 6 dernières années. Mais maintenant, il n'était plus là. Il était parti étudié à Bloomington, le journalisme. Bien sûr, ils restaient pendus des heures au téléphone, mais ce n'était pas pareil.

Alexis avait 16 ans, et des tas d'espoirs, ainsi que des tonnes d'illusions perdues. Mais elle allait de l'avant, estimant que c'était la chose à faire, plutôt que de larmoyer sur son sort. Elle allait de l'avant, voguant sur les eaux de la vie du mieux qu'elle le pouvait. Certains pensaient d'elle qu'elle cramait même la vie par les deux bouts, mais si elle enchaînait les petits amis à un rythme effréné et effrayant, elle n'avait pas versé dans la drogue ni dans la grande débauche. Elle ne couchait qu'avec ses petits amis, pas avec le premier venu, et elle ne se mettait pas délibérément la tête à l'envers à chacune des fêtes auxquelles elle assistait. De toute façon, elle avait une grande résistance à l'alcool. Présentement, elle rentrait d'une fête au lycée. Encore un an et quelques mois à tirer et elle serait enfin libre de faire ce qui lui chantait. Elle n'était pas mauvaise élève, loin de là d'ailleurs, parce qu'elle était même en tête de classe, mais voilà, certaines matières l'emmerdaient royalement, et son attitude assez désinvolte et pas toujours en accord avec l'éthique lycéenne lui valait les foudres de ses professeurs les plus coincés et étriqués moralement parlant. Certains d'entre eux se mettaient même à jouer les psy' du dimanche en prétendant que son caractère était dû à la perte de sa mère quand elle avait 10 ans, ridicule. Encore plus ridicule ceux qui prétendaient qu'elle avait ce caractère là parce qu'elle avait besoin de se sentir encore ado', elle qui avait eu un enfant l'année précédente. Comme si elle avait changé d'un iota depuis qu'elle était née, psychologiquement s'entend. Oui, sa mère était décédée, et, oui, elle avait eu un enfant l'année précédente, mais cela n'avait fait que la renforcer dans son attitude : elle se tenait debout face au monde, restant forte et agissant tel qu'elle l'entendait, et tant mieux si ça faisait chier. Un enfant, à 15 ans, certes, ce n'est pas très raisonnable, elle le savait bien, mais les événements avaient eu raison d'elle. Elle avait découvert sa grossesse à 6 mois et demi, il était donc trop tard pour y faire quoi que ce soit. De plus, elle n'était plus avec le père de l'enfant, l'un de ses ex petits amis, et pour cause : le jeune homme, lorsqu'ils se fréquentaient, était âgé de 17 ans et demi et finissait sa dernière année de lycée. Et lorsqu'elle avait découvert qu'elle était enceinte, il était parti pour Yale, étudier le droit. On était en Juillet lorsqu'elle accoucha. C'était une petite fille, et elle prit alors une grande décision, qui aurait des conséquences pour le restant de ses jours, elle le savait. Elle se savait incapable d'élever sa fille convenablement. Elle était jeune, et refusait de risquer d'en vouloir un jour à son enfant de lui avoir pris sa jeunesse et ses envies de profiter de la vie. Et puis, son frère partait faire ses études ailleurs, son père n'était pas au top de sa forme, bref, elle ne pouvait pas offrir le meilleur des foyers qui soit à un enfant. Elle décida alors de confier le bébé à un couple dont le mari était stérile, et qui rêvait d'un enfant depuis déjà de trop nombreuses années. Aujourd'hui, la petite avait 18 mois. Elle s'appelait Isis McLann, et un jour, elle saurait toute la vérité. Ce jour là, alors, elle serait en droit et en mesure de poser toutes les questions qu'elle voulait à Alexis, parce qu'il en avait été convenu ainsi. Gérer les conséquences du passé tout en envisageant le futur, c'était l'un des multiples credo de la jeune fille.

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Alexis déambulait dans les couloirs et chambres des urgences telle une patineuse artistique sur la glace, avec grâce et élégance. Pas pour rien qu'elle avait été l'une des voltigeuses dans l'équipe de cheerleader du lycée, en plus d'en être la capitaine, pendant 3 ans. D'ailleurs, à l'époque, les garçons cherchaient déjà à savoir si, oui ou non, elle préférait les strings aux boxers, la réponse étant : ça dépend des jours. Il fallait dire que de la mini-jupe appartenant à l'uniforme des cheer à la blouse blanche d'interne aux urgences, il n'y avait qu'un pas ou presque, allégrement franchi par nombre des collègues hommes de la jeune femme. Il y avait des jours où elle portait une jupe sous sa blouse, et, étrangement, c'étaient ceux là qui enchantaient le plus la gente masculine, que ce soit patients, internes ou médecins, voire même ambulanciers, brancardiers, flics et pompiers qui faisaient la navette entre l'extérieur et l'intérieur, des urgences bien sûr. Encore quelques mois et elle passerait titulaire. Elle attendait ce jour là avec impatience. Pour le moment, sur son badge, il y avait encore écrit interne, et certaines personnes devaient sans doute estimer que c'était là un synonyme de larbin ou de sous fifre, voire même de seconde catégorie, parce qu'Alexis n'était pas toujours prise au sérieux, en raison de son âge et aussi de son sexe : être une femme, ce n'est pas tous les jours évident, surtout aux urgences où les gens s'impatientent vite et ne comprennent pas les concepts de priorité et de rapidité plutôt que de logique. On n'était pas soigné en fonction de l'ordre d'arrivée, mais en fonction de la gravité de la blessure, histoire de ne pas laisser quelqu'un en défibrillation cardiaque faire un arrêt parce qu'on traitait un ongle arraché avant lui. Ce n'était pas comme à la poissonnerie ou à la boucherie, où il faut prendre son ticket et attendre que l'on appelle votre numéro. Heureusement pour tous, le système de santé n'en était pas encore arrivé là, même s'il craignait sérieusement par bien des aspects. Ce boulot lui plaisait, elle y prenait même son pied. Cela ne l'avait pas tout de suite frappé, et puis, en fin de senior year, ça lui était apparu comme une évidence. Sa mère était décédée d'une maladie fulgurante et mortelle, elle avait dû apprendre à gérer une grossesse jusque là déniée, alors, oui, elle savait que le corps médical avait son importance. Personne ne lui avait menti dans l'équipe médicale lorsqu'on avait diagnostiqué Rose, et elle en serait toujours reconnaissante. Alors, elle estimait que c'était là une façon pour elle de contribuer à cette pérennité des soins et de l'information aux malades.

Clay était revenu à Winchester, et elle n'en pouvait être que ravie. Et il avait trouvé l'amour. C'était quelque chose de bien, l'amour, ce n'était surtout pas à elle que l'on allait apprendre ça ! Après tout, au jour d'aujourd'hui, elle avait déjà été mariée 3 fois, et jamais au même homme ! La première fois, c'était au sortir du lycée : la veille, c'était la remise de diplôme, le lendemain, c'était la cérémonie maritale ! Jack avait trouvé que tout ceci allait sans doute un peu vite en besogne, lui qui était certes tombé amoureux de Rose au premier regard, mais qui avait attendu trois ans avant de lui passer la bague au doigt. Oui, mais bon, il avait tout de même fait un enfant à Rose moins de 6 mois après leur rencontre ! Alors, Jack n'avait trop rien dit, heureux de savoir sa fille heureuse, c'était là le principal pour lui. Il remontait doucement mais sûrement la pente, et était soulagé de savoir que sa fille n'allait pas partir aussi loin que Clay pour faire ses études. Elle aurait pu aller à Bloomington, comme lui, mais elle avait préféré Indianapolis : capitale de l'état, mais plus proche de Winchester que ne l'était Bloomington. Elle avait son appartement à Lawrence, situé à deux pas d'Indiana', mais passait toutes les semaines voir son père. Et puis, lorsqu'il avait fallu trouver une place en internat dans un hôpital, elle avait tout de suite pensé à celui de Winchester. Il fallait dire qu'elle n'avait pas forte concurrence, mais qu'il y avait du travail. Les urgences, c'était là où elle était tombée, un peu par hasard, elle qui voulait initialement être en soins intensifs. Et au final, elle avait eu une bonne surprise, si l'on pouvait dire ça comme ça. La blouse, ça faisait fantasmer plus d'hommes encore qu'on ne le pensait, mais son premier mariage n'avait duré que quelques mois seulement. Les deux tourtereaux s'étaient quittés en bon terme, et il en était allé de même lorsqu'Alexis s'était à nouveau faîte passer la bague au doigt, deux ans et quelques plus tard. L'union avait été là aussi éphémère, mais elle avait retenté le coup, pour voir. Et la troisième fois n'avait pas été la plus glorieuse. Le divorce s'était mal passé, parce que son mari n'avait pas mis du sien. Bref, une grosse catastrophe, et ils avaient vécu réellement été mari et femme moins de temps qu'ils n'avaient été séparés mais toujours mariés ! Les secrets, elle n'aimait pas trop ça, et lui en avait trop, bien trop même. Le divorce a eu lieu il y a seulement 7 mois, et c'est toujours la guerre. Enfin, cela ne l'avait pas empêché d'aller de l'avant, n'est ce pas, parce que pendant que son futur ex-époux mettait du temps à signer les papiers de divorce, elle était passée à autre chose. Cependant, le mariage, elle est un peu échaudée, voyez vous ! Elle enchaîne les relations, de plus en plus vite, sans piocher chez Jo le clodo non plus, elle a tout de même de la retenue. Et puis, elle commence à croire qu'il n'y aura jamais de mariage pouvant être plus heureux que celui de ses parents. Elle a divorcé trois fois, quand Clay est devenu veuf, génial, non ? Elle a été là pour son frère, bien sûr, et elle aussi a souffert de la mort de sa belle sœur, mais parfois, elle se dit que, malgré tout, Narcissa est toujours là, quelque part avec eux. Elle fait tout pour booster Clay quand ça ne va pas, et se dit que le futur ne peut être que meilleur, parce que son père est sorti de sa dépendance à l'alcool, parce que Clay revit peu à peu, et parce que ses rapports avec son ex-mari sont moins houleuses. On va dire que les menaces de mort se font de moins en moins nombreuses en fait !

Tell me how you are

Elle sait faire preuve d'une ironie et d'un humour à la fois corrosifs et saracstiques ♦♦♦ Plus jeune, elle a pratiqué la boxe française et le tir à l'arc, et n'en a rien perdu ♦♦♦ Elle possède deux chiens, très indépendants, mais très attachés à elle, alors attention à vos gestes et paroles envers elle en leur présence ♦♦♦ Elle a fait un déni de grossesse à l'âge de 15 ans et a confié sa fille à une famille en mal d'enfant, et ne regrette pas cette décision ♦♦♦ Elle est polyglotte, et parle français, italien, espagnol et anglais, bien sûr ♦♦♦ Elle a la fâcheuse tendance de se sentir très à l'aise peu vêtue, voire même pas assez vêtue pour certains ♦♦♦ Elle a déjà été mariée trois fois ♦♦♦ Petite, son rêve était de devenir une superhéroïne, mais un peu comme les filles de Sin City ou de Watchmen, celles qui vous bottent le derche en restant super sexy ♦♦♦ Elle s'enfile shoots et verres d'alcool sans ciller, et a déjà ramassé un max de fric dans des concours en rapport avec l'alcool ♦♦♦ A la mort de sa mère, elle a eut sa période garçon manqué, son prénom aidant à piéger nombre de personnes ♦♦♦ Elle a des origines polonaises par son père ♦♦♦ Elle raffole de chocolat et autres confiseries ♦♦♦ Elle change de voiture comme de sticks à lèvres, mais conserve précieusement sa Chevy Camaro noire datant de 1967, cadeau pour ses 16 ans ♦♦♦ Elle n'a pas son pareil pour les yeux de chiot, et seul Clay semble être en mesure de rivaliser avec elle ♦♦♦ Elle est fan du rock des décennies passées et est cinévore ♦♦♦ Elle assume totalement sa féminité en refusant les clichés qui vont avec ♦♦♦ Elle adore la littérature européenne et peut vous sortir des citations entières de chefs d'œuvres de la littérature en étant aussi tout à fait capable de sortir une citation tout droit puisée dans une débilité de la télé réalité ou dans un dessin animé pour enfants ♦♦♦ Elle joue de la guitare et s'en sert aussi pour dégommer le plafond quand ses voisins du dessus font trop de bruits ♦♦♦ Elle cuisine comme un vrai petit chef, mais a souvent la flemme de passer derrière les fourneaux ♦♦♦ Elle carbure au café : sucré ou pas, ça n'a pas d'importance, pourvu qu'on ne commette pas l'hérésie d'ajouter du lait au précieux breuvage ♦♦♦ Elle déménage souvent, et a la bougeotte : autant prendre rendez vous avec elle à l'avance si on veut la voir et s'éviter de parcourir la ville de long en large pour lui mettre la main dessus ♦♦♦ Elle est AB - ♦♦♦ Elle est fascinée depuis toute petite par les mythes et légendes ♦♦♦ Elle a déjà dû se casser ou se fracturer bon nombre des os du corps à force de jouer les têtes brûlées sans peurs et sans reproches

Tell me what are you thinking

Alexis déteste qu'on lui dise qu'elle a tord quand elle sait que ce n'est pas le cas, ou quand on est loin d'être en mesure de lui prouver, par des preuves tangibles et non pas par des supputassions, qu'elle est dans l'erreur. De fait, elle ne lâche pas le morceau quand à sa soif de découvrir tout ce qui se trame réellement derrière toutes ces histoires de fantômes. Elle a toujours été très attirée par les contes et légendes, par les mythes aussi, antiques ou pas d'ailleurs. Et puis, l'Indiana, c'est peuplé d'histoires au sujet des Indiens et de leurs incroyables croyances. Alors, oui, le mystère et le surnaturel, ça l'a toujours bottée, énormément même, peut être trop d'ailleurs selon certains. Elle travaille certes dans le domaine médical, mais cela n'a pas fait d'elle, à mesure du temps, une scientifique qui pense que les maths et la science, ainsi que le rationnel et la logique, ont raison de tout. Elle sait que certains mystères resteront irrésolus jusqu'à la fin des temps, à moins que Doc n'existe vraiment et qu'il soit capable de remonter le temps à bord de sa caisse transformer en machine à remonter le temps. Ou alors, il faudrait qu'un autre certain Docteur accepte de remonter le temps à bord de cette cabine téléphonique si spéciale pour vérifier ce qu'il en est réellement à chaque interrogation. Elle déteste ne rien comprendre, et cherche donc toujours le plus d'éléments de réponses à ses questions, ce qui la pousse à vouloir absolument tout comprendre de ces mythes de fantômes. Elle croit réellement qu'il y a un fond de vérité dans tout cela, et sans être une farouche convaincue de ces histoires, elle n'écarte nullement la possibilité que tout soit vrai. Mais parce qu'elle est impulsive et tête brûlée, elle ne mesure peut être pas tous les risques qu'elle encourt, et prend d'ores et déjà de gros risques. Oui, ce n'était pas comme si elle était seule et ne comptait pour personne, mais quand même, elle ne voit pas forcément le danger, et risquerait bien d'y laisser des plumes. Travaillant aux urgences, elle est aux premières loges lorsqu'il s'agit d'entendre des témoignages étranges de gens rescapés d'accidents de la route ou d'incendies, et elle n'en perd pas une miette. Elle ne cherche pas à jouer les superhéroïnes en éradiquant tous ces fantômes, non, pour le moment, son but est bel et bien de comprendre. Et tant pis si ça provoque des crises d'angoisse et de petites engueulades avec Clay !

BEHIND YOUR SCREEN

PRÉNOM/ PSEUDO ♦ Twix ÂGE ♦ 19 ans PRÉSENCE ♦ 7/7. OÙ AS TU CONNU LE FORUM ♦ Dans une pochette surprise TES AVIS DESSUS ♦ Il est confortable, j'aime bien, mais améliorez l'approvisionnement des distributeurs, ça craint un peu ! PERSONNALITÉ SUR TON AVATAR ♦ KeiraSweetyKnightley CODE RÈGLEMENT ♦ children souldn't play with dead things DERNIER MOT ♦ Zygote; le dernier mot de mon dico' !